Pour les chrétiens, la date de Pâques est la date de la fête
religieuse la plus importante du calendrier alors que pour les autres, elle est
la fête du printemps et du renouveau. Religieuse ou non, la date de Pâques est
fixée selon les règles chrétiennes fixées en 325.
Quelle est la date de Pâques ?
La Fête de Pâques ne tombe pas à date fixe comme la Fête de
Noël. En effet, la date de Pâques doit être calculée chaque année en fonction du
jour de la pleine lune et de l’équinoxe de printemps le 21 mars.
Que l’on soit chrétien ou non, la date de Pâques est
importante, puisque le week-end de Pâques est férié pendant 3 jours !
Comme de
nombreuses fêtes chrétiennes, la date de Pâques esest devenue aussi une fête civile fêtée par de nombreux enfants.
Comment est calculée la date de Pâques chaque
année ?
Jusqu’en 325 les chrétiens disposaient de différentes
méthodes astronomiques ou non de calcul pour la date de Pâques donnant chacune
des dates différentes. Le Concile de Nicée en 325 a permis de fixer un mode de
calcul de la date de Pâques pour tous les chrétiens : « Pâques est le
dimanche qui suit le quatorzième jour de la Lune qui atteint cet âge au 21 mars
ou immédiatement après ».
Cette règle se traduit plus simplement par cette règle
facile à retenir pour le commun des mortels : la date de Pâques est le
premier dimanche après la première pleine lune de Printemps fixée par le
calendrier lunaire. La règle est un peu plus complexe pour les années
bissextiles, mais dans l’ensemble, elle marche assez bien pour trouver la date
de Pâques chaque année.
Pourquoi la date de Pâques est-elle si importante ?
Outre le fait que Pâques soit la fête la plus importante
pour les chrétiens, la date de Pâques est importante par ce qu’elle détermine
la date d’autres fêtes : toutes les fêtes mobiles. Les dates du Carnaval,
du Mardi Gras, du Mercredi des Cendres, du Carême, des Rameaux et de la Semaine
Sainte, de la Pentecôte et de l’Ascension sont toutes fixées par rapport à la
date de Pâques. La plupart de ces fêtes sont aussi des fêtes civiles donnant
lieu à un ou plusieurs jours fériés. Le calcul de leur date est calqué
que le calcul du calendrier chrétien et donc sur la date de Pâques. Par
exemple, L’Ascension est fixée à 40 jours après Pâques et la Pentecôte à 50
jours après Pâques.
PÂQUES
2021 : LES DOSSIERS À LA UNE !
Pâques est une fête incontournable en France ! Les enfants
adorent partir à la chasse aux oeufs, manger des chocolats et profiter de temps
en famille alors que les beaux jours reviennent. Vous trouverez plusieurs
activités et jeux ICI
Amir raconte l’émouvante genèse d’Anja, une chanson pour
toutes les filles du monde.
Le chanteur Amir interprète avec sensibilité le titre Anja,
un morceau engagé qui lui tient tout particulièrement à cœur. Le clip est
accompagné d’illustrations de la dessinatrice Louison et d’images de l’UNICEF.
Sur votre dernier album, on sent poindre une forte
émotion quand vous interprétez la chanson Anja. Qui est-elle ?
Il s’agit d’une fille imaginaire qui aurait pu être la
mienne. Cette chanson a été écrite avec l’idée que le narrateur transmet une
image du monde à une enfant. Mais c’est une image du monde adoucie, pour que
cette fillette garde un peu de son innocence. Cette enfant pourrait vivre dans
n’importe quel pays, à n’importe quelle époque.
Dans ce titre, vous évoquez la violence et la guerre,
mais aussi l’espoir et la joie. Pour vous, le message de ce morceau est-il
triste ou gai ?
Moi, je suis de nature optimiste et cette chanson me
ressemble : même si on ne raconte pas à cette enfant toutes les horreurs de ce
qu’il se passe dans le monde, ce qu’on lui apprend lui permettra de se
construire autour d’idées positives et de voir le verre à moitié plein. On veut
qu’elle grandisse sans être esquintée par les atrocités du monde.
Comment le public réagit-il lorsque vous interprétez
cette chanson ?
Les réactions sont toujours très émues. Comme le public, je
vis une émotion différente à chaque fois. À chaque fois que je la chante, je
demande à une fille dans le public de monter sur scène. Elle va en coulisses
pendant quelques secondes enfiler une robe blanche et une couronne de fleurs, à
l’image de l’Anja de la chanson. Et chanter ce morceau en la voyant rend l’interprétation
beaucoup plus sincère et cela donne une intensité supplémentaire. Les paroles
sont tellement poignantes que je ne parviens pas à les chanter sans les vivre.
Je n’ai pas l’habitude d’interpréter des chansons que je n’ai pas écrites et
celle-ci est tellement particulière et spéciale qu’il m’a semblé indispensable
de la faire figurer dans mon répertoire où elle occupe une place à part. Ce
titre compte énormément pour moi.
Chaque année, à la date du 20 mars, la Journée
internationale de la Francophonie est célébrée dans le monde entier, dans les
pays francophones mais aussi dans ceux où la langue française est moins
répandue.
Cette date fait référence à la naissance, le 20 mars
1970 à Niamey (Niger), de l’Agence de coopération culturelle et technique, qui
allait devenir l’Organisation internationale de la Francophonie.
Cette année, cette journée s’inscrit sous le thème « Femmes
francophones, Femmes résilientes », en hommage à toutes les femmes des 88 États
et gouvernements de la Francophonie, qui se battent au quotidien, en
particulier pendant cette crise sanitaire sans précédent.
Justement en raison de ce contexte, l’OIF a choisi de
célébrer la Journée internationale de la Francophonie dans un format virtuel,
avec une programmation spéciale de son émission la « Francophonie, le direct »,
autour de la thématique « Femmes francophones, Femmes résilientes ».Samedi 20
mars, dès 14h30 (heure de Paris) en direct sur la page Facebook de l’OIF.
Programme
11 h
00 (heure de Paris), Louise Mushikiwabo remettra le Prix des Cinq
Continents à la lauréate 2020, Béata Umubyeyi Mairesse, pour son
roman « Tous tes enfants dispersés » ainsi que la mention spéciale à
Paul Kawczak pour son roman « Ténèbre ».
14 h
30 (heure de Paris), programmation spéciale de l’émission la «
Francophonie, le direct », avec une discussion sur la thématique «
Femmes francophones, Femmes résilientes » entre Louise
Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie, l’écrivaine
camerounaise Djaïli Amadou Amal, l’artiste et chanteuse bulgare Irina
Vassileva, et Samar Louati, entrepreneure tunisienne engagée. Animé
par la journaliste Kareen Guiock, le débat sera
ponctué d’interventions de personnalités et d’artistes variés.
22 h 00 (heure de Paris), retransmission en direct du
concert « Voyage en Francophonie » présenté par le Centre culturel du
Lycée Français de New York et l’OIF en collaboration avec le Centre de la
francophonie des Amériques. Un événement pour célébrer la diversité des
voix francophones avec les artistes Andréanne A. Malette
(Québec,Canada), Yseult (France), Emel (Tunisie), Moonaya.
Au début du
XXème siècle, des femmes de tous pays s’unissent pour défendre leurs
droits. L’origine de cette journée s’ancre dans les luttes ouvrières et les
nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures
conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes, qui
agitèrent l’Europe et le monde occidental, au début du XXe siècle.
La création d’une « Journée internationale des
femmes » est proposée pour la première fois en 1910, lors de la
conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, et
s’inscrit alors dans une perspective révolutionnaire.
La date n’est tout
d’abord pas fixée, et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des
ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place.
Après 1945, la Journée internationale des femmes
devient une tradition dans le monde entier jusqu’à nos jours. La date est
réinvestie avec le regain féministe des années 70 et la « Journée
internationale des femmes » est reconnue officiellement par les Nations
Unies en 1977, puis en France en 1982. C’est une journée de
manifestations à travers le monde, l’occasion de faire un bilan.
La Journée internationale des droits des femmes reste
aujourd’hui d’une brûlante actualité car tant que l’égalité entre les hommes et
les femmes ne sera pas atteinte, il sera nécessaire de la célébrer.
Internet
a consacré la montée en puissance des réseaux sociaux,
devenus pour certains de véritables médias sociaux, qui permettent aux
internautes et aux professionnels de créer une page profil et de
partager des informations, photos et vidéos avec leur réseau. Des
espaces de partage qui se distinguent par leur utilité (personnel,
professionnel, rencontres...), leur logo et leurs audiences.
Internet et les réseaux sociaux
foisonnent d'informations en tous genres, surtout lors d'événements graves, et il est parfois
difficile de démêler le vrai du faux.
Voici quelques clés pour déjouer les rumeurs et éviter
de les propager.
Alors sans tomber dans la suspicion permanente et la
théorie du complot, comment
faire le tri entre rumeurs, légendes urbaines, et informations fiables ?
Voici quelques clés:
1. Quelle est la source
? Qui parle ?
Chacun peut produire de l'information, que
ce soit sur un site personnel, sur un blog, sur les médias sociaux...
Demandez-vous donc toujours qui parle et quelles sont ses sources. Pensez à
vérifier également l'url (l'adresse qui apparait dans la barre est en haut de
l'écran) du site sur lequel vous vous trouvez. Certains sites publient des
informations parodiques qui peuvent paraître exactes si on n'y prend pas garde.
2. Tournez-vous vers
les médias reconnus et les journalistes identifiés.
De façon générale, au moins dans un premier
temps, il est préférable de s'appuyer sur les médias reconnus (sites internet
et comptes officiels des journaux, radios, etc). Il ne s'agit pas
d'affirmer que toutes les informations relayées sur ces médias sont justes,
mais c'est tout de même un bon point de départ. Dans les situations de crise
(pandémie, attentats, prises d'otages), l'information circule - et est relayée
- très vite. Aussi, assurez-vous que plusieurs médias donnent cette même
information et en citent la ou les source(s).
3. De quand date
l'article ou la publication ?
Les informations publiées sur Internet ne «
meurent » jamais. Il suffit qu'elles soient à nouveau partagées pour remonter
facilement et très rapidement sur les fils d'actualité de vos médias sociaux
(Facebook, Twitter...). Plus une information est partagée, plus elle est
visible. Le risque est donc de prendre pour une nouveauté un fait qui date de
plusieurs mois, voire même de plusieurs années.
4. Recoupez les sources
et les informations.
Là encore, le principe de viralité sur les
médias sociaux fait qu'une même information partagée par un grand nombre
d'utilisateurs devient très visible. Le risque est alors de penser que
puisqu'elle apparaît souvent dans vos fils d'actualité, elle est avérée.
Essayez toujours de remonter à la source et de voir qui a partagé cette information
en premier afin d'en juger sa fiabilité. Si plusieurs médias reconnus donnent
la même information en citant des sources différentes, elle a de bonnes chances
d’être avérée.
5. Vérifiez les images.
Les réflexes listés ci-dessus valent
également pour les photos. Elles peuvent être plus anciennes qu'annoncé,
retouchées ou détournées de leur sens d'origine (une photo représentant une
scène de guérilla urbaine peut être présentée comme ayant été prise lors de
manifestations récentes en France alors qu'elle date en réalité de plusieurs
années et été prise dans un autre pays, par exemple). La source d'une photo
peut être retrouvée à l'aide de certains moteurs de recherche, comme, par
exemple,TinEye
6. Dans le doute, ne
relayez pas l'information.
Vous avez dit Fake news ?
Repérer les fake news ? un exemple dans cette vidéo